Deux hommes marchent dans un couloir sombre, ils se dirigent vers une porte en bois massive à deux battants.
Pendant leur marche, l'un des leurs dit alors:
« Maître, Est-ce vrai ce qu’on dis sur elle ?
- Mhmm?
- Eh bien…vous savez…sur ses parents et sa famille
- mhm, je vois. Tu es nouveau ici toi non ?
- Oui mon maître.
- Tu as entendu les rumeurs à propos de cette ‘’Kaliena‘’ alors… . Approche. »
Le sujet s’exécuta rapidement.
« Bien » commença-t-il en chuchotant à son oreille.
Au même moment de l’autre coté de cette porte…
« Eh ! Toi là…oui toi… la femme ! Écoute-moi !
-Quoi mâle ? » En ouvrant les yeux doucement.
-« Ah ah ah ! Bientôt tu m’appelleras maître ! Et bien c’est ton tour ma belle…
-Ferme la crétin d’homme, il n’y aura que ton regard qui pourra se posé sur moi. Me suis-je bien fait comprendre ?
-Mouahahah ! Vous entendez ca vous autres ?! Comme si elle pouvait choisir son avenir ? Ah ah ah ah ah !
-De toute façon, stupide animal, tu es comme moi. Prisonnier dans cette geôle.
-C’est là où tu te trompes ma belle. Cela fait bien longtemps que j’ai acheté le droit de ne plus porté de chaînes. Les gardiens sont très…coopératifs quand on parle de leurs familles. »Dit-il avec un sourire pervers et s’approchant d’elle.
« Quel est ton nom ma jolie ?
-En quoi cela t’importe, porc !
-Je veux juste connaître le nom de celle que je vais faire crier puis tuer ensuite. » En face d’elle. « Eh bien ! On me ma pas menti, tu es vraiment très jolie, ca va être un délice.
-Et bien j'ai pour nom Kaliena et j’ai quelque chose à te dire aussi… » Alors qu’il s’approche d’elle pour lui touché la peau.
Il s’arrêta pour écouter ce qu’elle avait à dire, tout en observant ses mains attachés au chaines contre le piller.
D’un geste vif, elle sépara de ses chaines et porta ses mains au cou de l’homme qui était trop proche d’elle.
« Moi aussi ca fait longtemps que je n’ai plus mes chaînes… .
Désormais, mon…joli c’est toi qui va crier. »
Elle força avec sa main autour du cou de l’homme et de son autre vint lui mettre un cou sur ‘’l’entre-jambes‘’.
Quand l’homme sous le choc, regarda sa main sur son ‘’entre-jambes‘’ il vît qu’elle n’avait pas le poing fermé mais bien une main ouverte en avant et rigide, ongle en avant…enfin du moins il le pensait car… . « Argh ! » Oui elle avait bien enfoncé ses doigts dans cette partie du corps. Il sentit une douleur immense monté en lui, il commença a hurlé mais son cou lui faisait aussi mal, il avait du mal a respiré.
Elle s’approcha de son oreille et dit :
« Vois tu mon grand, je vais relâcher ton cou, et la seul chose que tu pourras faire, c’est hurlé car tu as mal, voit comme je peux te manipulé dans l’apparence, les mots et aussi les gestes. »
Elle retira ses mains et laissa l’homme tombé et hurlé de douleur comme elle l’avait dit.
Quand l’hurlement s’estompa la grande porte s’ouvrit alors et deux hommes se tenaient devant la porte.
L’homme le plus grand et le plus richement habillé cria alors :
« Garde ! Qu’on l’enchaine et qu’on l’amène chez le bourreau, un peu de fer rouge la calmera. Ensuite envoyez là dans la salle du trône, nous avons à parler affaire. »
Deux gardes la firent sortir de la pièce.
Le grand homme se tourna alors vers l’autre et lui dit :
« Tu vois mon cher, il est très utile de se servir d’elle, mais elle a tendance à nous détester nous les hommes. De ce fait nos prisons se vident à cause d’elle, mais pas de la façon dont je le souhaite. »
[Bientôt la suite, j'écris pas mal de petite chose en ce moment donc je le fais par morceau.]